Dubliners, de James Joyce

On entre comme par effraction dans une époque et dans une ville qui ne sont pas les nôtres, et où nous reconnaissons pourtant ces gens, qui sont de Dublin et de partout, ces personnages humbles, même dans leurs fiertés dérisoires, même dans leurs violences pathétiques. Ils sont traversés de désirs, de questions existentielles, de rancunes, d’hésitations, d’une quête difficile de leur identité.

Leurs liens sociaux, futiles comme leurs conversations, évanescents comme la musique qu’ils jouent et qu’ils chantent, flambent pourtant comme un âtre rassurant dans ce monde crépusculaire et froid.

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